On distinguera 3 zones artistiques dans l'archéologie chrétienne : Paléo-chrétien et Chrétien, Byzantin, Copte
Dès le Ier siècle, la religion chrétienne s'est répandue rapidement à Rome et dans le monde, non seulement par son originalités. Les autorités civiles et le peuple même, d'abord indifférents, se montrèrent très vite hostiles à la nouvelle religion, car les chrétiens refusaient le culte de l'empereur et l'adoration des divinités païennes de Rome. On les accusa d'être la cause des calamités naturelles, telles que la peste, les inondations, les famines, etc.
La religion chrétienne fut déclarée étrange et illicite (décret de l'an 35), pernicieuse (Tacite), perverse et excessive (Pline), neuve et maléfique (Suétone), obscure et ennemie de la lumière, détestable (Tacite). Elle fut donc mise hors la loi et poursuivie comme l'ennemi le plus dangereux du pouvoir, qui était fondé sur l'ancienne religion nationale et sur le culte de l'empereur, instrument et symbole de la puissance et de l'unité de l'Empire.
Les 3 premiers siècles constituent l'époque des martyrs, qui s'achève en 313 avec l'édit de Milan, par lequel les empereurs Constantin et Licinius concédèrent la liberté à l'Eglise. La persécution ne fut pas toujours continue et générale, c'est-à-dire étendue à tout l'empire; elle ne fut pas non plus partout également cruelle et sanglante. A des périodes de persécution succédèrent des périodes de paix relative.
Dans la majorité des cas, les chrétiens affrontèrent avec courage, souvent avec héroïsme, l'épreuve des persécutions, sans toutefois la subir passivement. Ils se défendirent avec force en dénonçant le manque de fondement des accusations de délits occultes ou publics qui leur étaient adressées, en présentant la teneur de leur foi (" ce en quoi nous croyons ") et en décrivant leur identité (" qui nous sommes ").
Dans les " Apologies " (plaidoyers de défense)
adressées aux empereurs, les chrétiens demandaient
de ne pas être condamnées injustement, sans être entendus
et sans preuves. Le principe de la loi sénatoriale ("Non
licet vos esse" - "Il ne vous est pas permis d'exister") était jugé
injuste et illégal par les Apologistes, car les chrétiens
étaient d'honnêtes citoyens, respectueux des lois, dévoués
à l'empereur, actifs et exemplaires dans la vie privée et
publique.
Elle se développe en Italie du nord (Milan, Ravenne et Rome), à
Constantinople , Alexandrie et Jérusalem
Il est important de noter que, en dehors de son origine chrétienne,
l'art chrétien est partie intégrante de l'art paien, du moins
à ses débuts, dans les formes, les usages et les matériaux
employés.
Beaucoup d’historiens ont considéré que la crise du 3e
siècle mettait fin au système de la ville antique, souvent
perçue comme un modèle abstrait. Mais les données
de l’archéologie permettent d’affirmer qu’une certaine civilisation
de la cité a brillé parfois avec éclat dans beaucoup
de régions durant encore plus de 300 ans. Des villes nouvelles sont
créées , d'autres sont refondées.
Rares sont les villes paléo-chrétiennes qui ne possèdent
pas de murailles. Elles respectent le plus souvent le périmètre
de l’enceinte antérieure lorsqu’elle existe, ce qui traduit une
occupation urbaine à peu près constante par rapport aux époques
antérieures (Arles est la seule cité dont l’enceinte marque
au Bas-Empire un certain rétrécissement).
C’est à Constantinople qu’ont été bâties
les murailles les plus remarquables de tout l’Empire. Commencées
en 412 par Théodose II, les murailles terrestres de cette ville,
longues de 5 632 mètres, comportent, outre une levée de terre
et un fossé, un avant-mur de 8 mètres de hauteur, renforcé
de 82 tours, et un mur principal haut de 12 mètres, large de 4,
80 m et pourvu de 96 tours.
Le réseau des rues s’ordonne presque toujours dans les grandes villes autour de grandes artères, se recoupant à angle droit, qui déterminent des quartiers divisés par des transversales étroites, souvent en pente parfois couvertes (Éphèse, Rome). Ces grandes voies sont le plus souvent bordées de portiques, suivant un usage qui est attesté pour la première fois à Antioche (~Ier s), qui se répand largement en Orient (Palmyre, Apamée, Gerasa, Olbia, Pompeiopolis, Sidé, Pergé, Aphrodisias, Sardes) et qui reste plus limité en Occident (Vaison, Trèves au IVe s.) et en Afrique (Lepcis Magna, Carthage, Djemila).
Les fouilles de Sardes ont permis de mettre au jour une série d’échoppes très variées (serruriers, quincailliers, teinturiers, vitriers...) adossées à un vaste gymnase et ouvrant sur la colonnade de la grande voie qui traversait la ville (chaussée, 21,50 m de large; trottoirs, 2 m).
Les places sont nombreuses et continuent à porter les noms d’agora et de forum: la diversité de leurs formes tend à s’accroître. À Constantinople, où les places s’échelonnent sur le grand axe de la Mésé, l’une des plus anciennes places de la ville, construite par Septime Sévère, le tétrastoon (le quadriportique) se présente dans la première moitié du IVe siècle comme un banal forum avec sur son pourtour les temples
À la différence des temples, les bâtiments publics
profanes (curies, salles d’assemblée) ont été dans
l’ensemble maintenus.
Les thermes sont sans cesse réparés, entretenus (Éphèse,
Sardes, Antioche, Carthage) ou construits (Apollonia en Libye, Arles, Madaure,
Épidaure, Rome, Naples). En Orient, où ils étaient
incorporés à des gymnases avec palestre (Éphèse,
Sardes), ils tendent à se réduire à leur fonction
thermale : affaiblissement de l’idéal d’éducation liée
à l’épanouissement physique qui avait été celui
de l’Antiquité.
Il y a aussi les lieux de spectacle : théâtres, où
l’on voit les mimes (Cyrène et à Ptolemais en Libye), amphithéâtres
, cirques. Dans l’hippodrome de Constantinople, où l’empereur se
trouvait dans un face-à-face parfois dangereux avec le peuple de
la capitale, la gloire des cochers, était «récupérée»
à la fois par une symbolique assimilant leur victoire au thème
de la victoire impériale et par la cérémonie des acclamations
rituellement réglée grâce aux factions. De plus, ce
fanatisme sportif pouvait être un dérivatif utile quand
la situation politique, religieuse ou économique était critique.
La première caractéristique est le luxe et l’importance des
villae ou «palais». Que ce soient des résidences
impériales, ou les innombrables édifices découverts
sur tout le pourtour méditerranéen, on est en présence
d’une architecture de prestige qui témoigne de l’enrichissement
des classes dominantes : grands propriétaires fonciers, hauts fonctionnaires,
épiscopat.
Ses caractéristiques essentielles sont le maintien du péristyle
de tradition hellénistique autour duquel sont disposées les
pièces : salles d’apparat et salles à manger. Celles-ci tendent
à se fermer par une abside (d’où parfois leur interprétation
erronée comme chapelle) à l’intérieur de laquelle
étaient disposées des banquettes entourant la table. L’abside
tend même à se multiplier dans les édifices importants:
3 dans le palais dit de l’évêque à Aphrodisias, 7 à
Djemila dans la maison de Bacchus, et, 19 dans le palais impérial
de Constantinople. Les fontaines, souvent monumentales au point de rappeler
en miniature les nymphées publics, décorent cours et vestibules
(Ostie, Stobi, Antioche, Apamée, Cyrène) ou bien prennent
place dans des absides (Athènes) et des nymphées circulaires
(Argos). Des thermes privés se rencontrent souvent dans ces résidences
(Athènes, Ptolemais), symboles de raffinement, plutôt que
d’un déclin du rôle social des thermes publics. Mosaïques,
placages et stucs peints soulignent le luxe de ces demeures.
Le culte rendu aux morts prend, avec l’avènement du christianisme, des formes
spécifiques. On continue à enterrer le plus souvent, comme le veut la législation,
hors des murs, mais l’attention prêtée aux martyrs, dont les basiliques
fleurissent autour des cités, est source de nouveaux itinéraires et de nouvelles
formes de piété qui ont leur répercussion sur l’urbanisme, comme le montrent
les cas classiques de Rome, d’Arles, Lyon, Vienne, Salone, Corinthe (basilique
de Saint-Codratos). Aussi l’ancien interdit, qui marquait traditionnellement
la limite de la ville, finit-il pas s’affaiblir avec l’expansion du culte des
martyrs et la présence de leurs reliques au centre des villes.
Les persécutions dont les chrétiens sont l'objet, les obligent à pratiquer leur
culte et d'enterrer leurs morts à l'abri des regards et des incursions. C'est
l'époque des catacombes dont les chrétiens ne sont pas les premiers créateurs
puisque l'on trouve des réalisations semblables dans plusieurs pays bien avant
l'ère chrétienne. Description
et Spiritualité
Les
objets présentés
- Arc de triomphe de Constantin
- Scène de donation de l'empereur. Haut relief du 2° s, dans lequel les personnages
se meuvent avec aisance et sur tous les axes (face, profil, 3/4...)
- Haut relief du 3° s, moins "souple" que le précédent. Les personnages sont
serrés, très symétriques et figés. Apparition de la perspective inversée
avec les personnages du 2° plan plus grands que ceux du 1° plan.
- Statue des Tétrarques en porphyre. 4 Personnages en ronde bosse, très impersonnels,
au point qu'on les reconnaît difficilement. (Tétrarchie : Dioclétien nomme en
286 Maximien puis en 293 Constance et Galére)
- Base de l'obélisque de Théodose (fin 4° s) à Constantinople. Traitement frontal
des personnages. Hiératisme de l'ensemble.
- Site de Douras Europos en Syrie du Nord entouré de remparts. Ce site militaire
et commercial fut abandonné en 256. Découpage en damiers des rues.
- Plan de la "maison chrétienne", typiquement romaine : fermée sur elle-même
avec une cour intérieure dallée, desservant les pièces sur son pourtour. Une
salle servait de baptistère et une autre pour les réunions.
* Dans le baptistère, les murs sont peints ainsi que le plafond,
la partie sacrée a 2 colonnes de part et d'autre, soutenant un arc en plein
cintre.
* Le fond du choeur est peint de 2 scènes frustes :
- Plan des catacombes de Rome. Environ 15 catacombes ont été découverts à la périphérie de la ville, creusés dans le tuf, parfois immenses en longueur et jusqu'à 7 ou 8 niveaux de galeries. Sur les murs les niches (loculi) , fermés par des plaques de marbre portant une épitaphe contenait le corps d'un, parfois plusieurs, défunt.le pasteur (Jésus) et son troupeau (les fidèles) de brebis
le péché originel : Adam et Eve perdant leur innocence se couvrent le sexe de leurs mains.
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En 312, au Pont Milius Constantin bat Maxence. Il s'était placé
sous la protection du christ et sa victoire était quelque peu celle
du christianisme. Constantin se convertit mais l'empire restait encore
essentiellement paien.
Cependant à partir de cette date l'art chrétien put se
développer sans interdit.
Manifestation ostentatoire à la gloire de Dieu mais aussi du
donateur ou du possesseur des objets, les arts somptuaires chrétiens
ne pouvaient apparaître que dans certaines conditions politiques,
sociales et économiques: il fallut attendre la «paix de l'Eglise»,
établie par Constantin au début du IVe siècle.
Le développement du mécénat impérial et
l’accroissement de la richesse de l'Eglise, favorisent un artisanat
de luxe lié étroitement à la religion nouvelle et
producteur d’objets tant profanes que liturgiques. Mesurée au 4e
siècle, elle ira en s’accentuant, chacune des grandes métropoles
possède alors ses ateliers d’orfèvres ou d’ivoiriers, dont
il est souvent difficile de définir le style propre. La rupture
intervenue dans l’unité de l’Empire donnera au 6e siècle
un rôle prépondérant aux artisans orientaux.
Les débuts de cet artisanat sont malaisés à cerner. L’inventaire des dons faits par Constantin aux églises de Rome, montre que vaisselle et mobilier liturgiques d’or ou d’argent ne sont pas exceptionnels, mais le matériel conservé est rare. De fait, il est encore difficile dans ce domaine de parler d’art chrétien: il n’y a rien de choquant, pour les chrétiens, à posséder eux-mêmes ou à offrir à l’Église des objets dont le décor reprend tel quel le répertoire de la mythologie, même si des plats identiques constituent pour certains membres de l’aristocratie sénatoriale romaine un moyen d’affirmer leur fidélité aux croyances de leurs ancêtres. Une simple invocation au Christ suffit à témoigner de la foi (coffret de mariage de Projecta Turcia). Les trésors ecclésiastiques eux-mêmes renferment bien des objets à caractère profane ou païen. D’ailleurs, le mobilier d’église, les luminaires entre autres, est dans la plupart des cas strictement identique au matériel profane.
À partir de 350, l’élaboration de la liturgie fait sentir peu à peu le besoin d’une vaisselle appropriée, comme en témoigne le trésor retrouvé à Canoscio, en Ombrie. Il s’agit parfois de pièces simples : cuillers, grandes aiguières élancées, l’une des formes alors les plus prisées; le décor se limite à une croix, une inscription de caractère chrétien, ou quelques figures géométriques. Se multiplient aussi de véritables travaux d’orfèvrerie, dont l’ornementation devient très variée : figures isolées du Christ et des apôtres, scènes empruntées à l’Ancien (Adam et Ève, Moïse et la source, les trois Hébreux dans la fournaise, Jugement de Salomon, Daniel dans la fosse aux lions) ou au Nouveau Testament (Adoration des Mages, Noces de Cana ou Résurrection de Lazare), ou bien encore images à caractère symbolique, parmi lesquelles les cerfs à la fontaine ou les agneaux adorant la croix. Le répertoire des formes en revanche reste limité : les reliquaires tiennent une place particulière; le développement du culte des martyrs entraîne leur multiplication : coffrets cubiques, boîtes oblongues au couvercle bombé ou même pyxides hexagonales. Exécutés au repoussé, les reliefs qui les décorent sont très inégaux; sans souci de composition, reprenant des schémas utilisés dans la peinture murale ou sur les sarcophages, en un style un peu gauche.
La maturation de l’iconographie nouvelle reste obscure car ce
sont les mêmes artistes qui sculptent figures mythologiques, scènes
de chasse ou images bibliques. C’est un chef-d’œuvre, présupposant
une tradition déjà bien établie, qui révèle
les ivoires chrétiens: la lipsanothèque (reliquaire) de Brescia;
attribué à un artiste romain des années 370, ce coffret
offre un décor remarquable, consacré pour l’essentiel à
des scènes de l’Ancien Testament et de la Vie du Christ.
Les ivoires présentent l’immense avantage de comporter
une série d’œuvres profanes précisément datées
: les diptyques, luxueuses tablettes à écrire offertes par
les consuls à leurs amis lors de leur entrée en charge. Les
points de repère ainsi fournis permettent de préciser l’évolution
d’un art longtemps empreint d’une élégance et d’une sensualité
toutes païennes
.
Une question ardue pour l’orfèvrerie comme pour les ivoires
est celle des centres de production; si l’on peut penser que la plupart
des grandes métropoles possédaient leurs ateliers, il est
d’autant moins aisé de leur attribuer des œuvres précises
que les artisans pouvaient se déplacer. Rome joue toujours un rôle
important, même après le sac de la ville par les Goths en
410; mais l’importance des ateliers d’Italie du Nord, de Milan, s’affirme
à la fin du 4e siècle, et l’activité des ivoiriers
de Gaule est important.
Les manuscrits enluminés, la Bible, notamment, occupent une place insigne, mais rares sont les œuvres qui ont échappé aux ravages du temps. Le plus ancien, le manuscrit dit Quedlinburg Itala, attribué à un artiste travaillant au début du 5e siècle, juxtapose, sur chacun des 4 feuillets conservés, plusieurs scènes d’une facture rapide et élégante.
La verrerie, bien représentée aux 4e et 5e siècles, illustre de nouveau les rapports étroits entre art profane – ou païen – et art chrétien; les verres dorés, trouvés en grand nombre à Rome dans des catacombes et en Rhénanie, enferment une mince feuille d’or entre deux couches de verre. Les scènes chrétiennes – reprenant pour certaines des images juives – y sont nombreuses et diverses, empruntées à la Bible ou reprenant des thèmes créés ailleurs, tel l’orant; une faveur particulière est accordée à saint Pierre et à saint Paul. L’usage de ces verres comme cadeaux destinés aux proches à l’occasion d’événements importants justifie l’une des formules fréquemment retenue: un ou plusieurs portraits accompagnés – lorsqu’il s’agit de chrétiens et comme sur l’argenterie – de symboles et d’inscriptions; certaines pièces toutefois peuvent être plus complexes (coupe de Cologne).
Ces
arts précieux entraînent à leur suite un artisanat plus modeste mais très proche,
puisqu’il cherche à fournir un équivalent meilleur marché de produits prestigieux:
en os, en bronze, en terre cuite surtout est repris, souvent copié, le même
répertoire chrétien; les ateliers de Tunisie produisent ainsi une céramique
exportée dans toute la Méditerranée, des plats et des coupes aux images parfois
originales, d’un style savoureux, plus populaire.
Les objets présentés
Les persécutions se terminent en 324 (plus tôt dans la partie occidentale de
l'empire), et en 330 Constantinople devient la capitale de l'empire ce qui ne
se fit pas sans mal pour les romains et l'aristocratie installée à Rome et pétrit
de culture et de mode de vie italiens depuis des siècles
Sous Théodose, le christianisme devient religion officielle (fin 4° S); puis
les cultes paiens sont interdits en 391
Sous le poids des conversions, il faut construire de plus en plus et en grand,
ce qui explique la taille imposante des églises et des basiliques.
- Basilique de Constantin. Il comprend un narthex, une nef central, et des
bas cotés, une abside
- Basilique de St Pierre de Rome qui mesurait plus de 100 m de long
- Mausolée de Sainte Constance à Rome. Un couloir annulaire cerne la coupole
et l'autel central par des arches à double colonnades corinthiennes. Sur
l'autre coté des niches. La coupole et les murs sont couverts de mosaïques,
très fines et colorées. Entre autre : Portrait du Christ, celui-ci représenté
selon l'iconographie impériale : manteau impérial, main tendue, barbe et cheveux
longs et ondulés. Le fond est une composition végétale.
- Peinture
dans un catacombe romain d'une orante voilée (4° s) avec un enfant sur sa poitrine
(vierge à l'enfant ?). Elle porte collier, boucles d'oreille, bras levés avec
les paumes tournées vers le ciel. Sa tête est couverte d'un voile transparent.
- Catacombe de Comodire (4° s). Christ de type patriarcal sur un fond quadrillé,
auréolé et entouré des signes "alpha" et "oméga". Cette représentation annonce
les icônes byzantines
- Catacombe de Domitille : Peinture de Sainte Pétronille, voilée, et Sainte
Veneranda. Elles portent de longues tuniques plissées. Les visages et les gestes
sont expressifs
- Catacombe des saints Pierre et Marcellin. Composition a 2 registres
- Sarcophage de Julius Bessus en marbre (359). Sculpté sur son pourtour en 2 registres superposés. 10 scènes historiés en haut relief , séparés par des colonnes torses.